Pour se faire, les TOP des meilleurs sites de jeux pour les joueurs français s’appuient tous, sans exception, sur des points clés. C’est aussi notre cas. Dans cet article, nous vous parlerons d’abord de ces critères qui nous permettent de juger de la qualité d’un casino sur internet (fiabilité, bonus, service client, jeux disponibles, etc…). Une fois cela posé, nous vous soumettrons notre classement des meilleurs casinos en ligne français pour l’année écoulée,

Points clés pour évaluer les meilleurs casinos en ligne de France

Pour mettre au point notre TOP liste, nous avons analysé les différents casinos en ligne français, en nous basant sur 6 critères clés.

• Sécurité et licence : vérification de la légalité des casinos online et de leur possession d’une licence appropriée (de préférence européenne).
• Jeu responsable : examen des programmes de prévention contre l’addiction et limites de dépôt mises en place par les casinos internet.
• Bonus et promotions : comparaison des offres de bienvenue, ainsi que des promotions régulières destinées aux joueurs inscrits.
• Ludothèque : inspection de la diversité et de la qualité des jeux proposés, mais aussi contrôle de la présence dans les parcs de jeux concernés de fournisseurs reconnus du monde du gambling.
• Moyens de paiement : analyse des différentes options de dépôt et de retrait fournies par les casinos du web, ainsi que délais et frais associés.
• Service client : évaluation de la qualité du support du site de jeux, de ses horaires d’ouverture et langues parlées. Pour cette étude, nous nous sommes basés sur la maîtrise du français.

Les 5 meilleurs casinos en ligne français pour 2023

Après avoir passé au crible de nombreux établissements de jeux internet, voici notre classement des meilleurs casinos en ligne français en 2023. Il s’agit d’un TOP 5. Tous se distinguent par leur fiabilité, leur ludothèque attrayante et leurs généreuses offres promotionnelles.

1. Cresus Casino : ce casino online au Top offre un bonus de bienvenue allant jusqu’à 300€, il propose aussi une ludothèque complète, un service client réactif et une certification eCOGRA. Cette dernière garantie le contrôle dans la tenue des jeux et leur fonctionnement par une autorité indépendante. Le Cresus est aussi l’un des plus anciens site de jeux en ligne de notre TOP
2. Madnix Casino : ce casino, lancé depuis 2019; n’a cessé de s’attirer les sympathies des joueurs depuis. Avec un bonus de 100€ et 225 tours gratuits à l’inscription, le Madnix Casino propose un très large choix de jeux et possède une licence obtenue auprès des autorités de Curaçao.
3. Winoui Casino : ce casino en ligne a vu le jour en 2018 et n’a pas tardé à se faire reconnaître depuis par le monde des jeux sur internet. En plus d’un bonus de 1000€ et 365 tours gratuits, Winoui dispose d’une impressionnante sélection de jeux de hasard de nature à contenter tous les goûts des joueurs.
4. Wild Sultan Casino : on ne change pas un recette qui gagne. Ce casino en ligne de qualité à l’ambiance oriental a adopté cet adage à la lettre, depuis sa création en 2015. 8 ans plus tard, ce vétéran plaît toujours autant avec son bonus de bienvenue de 500€, et sa large variété de jeux développés par les plus grandes enseignes du marché.
5. Lucky8 : lancé en 2017, ce casino internet a désormais pignon sur rue. Doté d’une licence émise par Curaçao, il propose à ses nouveaux parieurs, un bonus de bienvenue 200% jusqu’à 500€. S’y ajoute une belle offre de jeux, mais aussi un service clientèle disponible en français et de multiples options de paiement sans frais.

Des développeurs de jeux de casinos online à connaître

Pour offrir aux joueurs une expérience unique et mémorable, les meilleurs casinos en ligne français s’associent avec les leaders du marché en terme de développement de jeux. Depuis les années 2000, l’offre de jeux de casinos dématérialisé a même littéralement explosé. Attention toutefois, certains éditeurs se démarquent clairement du lot par leur qualité, leur nombre de titres et la fiabilité irréprochable de leurs jeux.

Voici quelques-uns des développeurs de logiciels les plus renommés qui équipent les établissements de jeux en ligne français. Si vous décidez d’établir votre propre Top des casinos online, retenez bien ces noms et vérifier que leur jeu sont dans la liste des établissements concernés : NetEnt, Microgaming, Play’n GO, Evolution Gaming, Yggdrasil, Betsoft.

Établir son propre Top des meilleurs casinos en ligne français?

Comme énoncé dès le départ de cet article, nos recommandations ci-dessus constituent un excellent point de départ pour un joueurs français débutant à la recherche d’un casino fiable sur internet. Néanmoins, il est important que chaque joueur identifie ses propres besoins et préférences.

Le Meilleur casino en ligne n’est pas une notion universelle et il n’est pas le même pour tout le monde. En faisant des recherches sur le Web, vous trouverez des Top 5, des top 10, des Top 20 mais, pour faire votre propre TOP casino dans tout çela, il vous faudra bien vous connaître. Voici donc quelques questions complémentaires qui pourront mieux vous orienter.

• Êtes-vous particulièrement intéressé par les machines à sous, ou préférez-vous les jeux de table comme le blackjack, la roulette et le poker ?
• Tenez-vous compte du montant des bonus de bienvenue, ou privilégiez-vous plutôt la qualité des promotions régulières ?
• Accordez-vous une importance particulière au service client, comme sa disponibilité en français ou ses horaires d’ouverture ?
• Etes-vous plutôt un joueur solitaire ou aimez vous les tables animées, la possibilité d’interagir avec d’autres joueurs, peut-être même de vous lancer dans des tournois ?

En répondant à ces questions, vous pourrez choisir le meilleur casino en ligne français. Ce n’est pas forcément celui dont tout le monde parle mais plutôt un site de jeux adapté à vos attentes et profiter ainsi d’une expérience de jeu optimale pour l’année 2023.

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Une application simple, locale et équitable avec des frais réduits

Sur Android et Appstore, tout le monde peut accéder en quelques clics a cette app. La promesse de l’application Resto du coin est d’être simple, locale et équitable, en profitant à tous les restaurateurs. Tout est parti du constat que les plateformes de livraison perçoivent une marge trop grande chez les restaurateurs. Le trio d’entrepreneurs français a donc décidé de concurrencer les géants américains. L’objectif est de mettre en avant les plats du jour dans les restaurants les plus proches de chaque utilisateur et de réduire au maximum les frais de restauration. L’entreprise a pour ambition de livrer 5 000 commandes par jour à la fin de cette année.

Le coût trop élevé des grosses plateformes

Les plateformes comme Uber Eats et Deliveroo étendent de plus en plus leurs influences. Ce qui représente une somme colossale, estime Yonathan Malet, fondateur de Resto du coin. Les utilisateurs sont conscients que ces entreprises rognent les marges des restaurateurs, mais sont obligés d’utiliser leurs services en raison de la qualité de ces derniers. Resto du coin veut avoir la particularité d’être rapide et simple.

Le pilier de Resto du coin

Pour atteindre ses objectifs, Resto du coin veut se baser sur son principal pilier qui est de proposer uniquement des plats du jour. Les utilisateurs recevront des notifications dans la journée qui leur présente les plats du jour dans leur restaurant préféré.

En ce qui concerne le coût, Resto du coin a pour objectif de proposer ce service à 1 euro au restaurateur. Le service ne comprend pas la livraison. Tous les clients qui désirent se faire livrer leurs repas à domicile devront payer, en plus de leur plat, 2,90 euros pour la livraison. Le restaurateur a la possibilité de gérer lui-même la livraison ou de faire appel à une entreprise spécialisée disponible sur l’application. Avec la distance qui est considérablement réduite, les livraisons coûteront en moyenne 5 euros. Une somme modique en somme pour une appli qui renverse les règles du jeu et essaye d’être juste à la fois avec le restaurateur et celui qui est demandeur du services à domicile. Il restera à voir si la formule prend face aux géants du secteur.

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Un effet Covid certain

Au cours du confinement, les chiffres d’affaires dans le domaine de la vente des jeux ont considérablement augmenté. Pour cause, la plupart des personnes confinées n’ont eu que cette option pour se distraire. Si, au cours de l’année 2019, les revenus étaient estimés à plus de 137 milliards d’euros pour le seul secteur des jeux vidéos, en 2020, la croissance a été étonnante. Ainsi, l’Interactive Software Federation of Europe (ISFE) a fourni des informations relatives au nombre de jeux vidéo vendus au cours de cette période. Dans les premiers mois qui ont suivi le confinement, une hausse de plus de 140 % a été notée en France. Un bond qui frise l’extravagance !

Toujours dans ce même secteur, en grande Bretagne, l’augmentation est d’environ 218 % dans la vente des jeux vidéo physiques. En ce qui concerne les jeux virtuels, les téléchargements ont également explosé. À en croire les statistiques, la semaine du 16 au 22 mars a permis de vendre plus de 2,70 millions de jeux vidéo dans les pays de l’Afrique, de l’Europe et du Moyen-Orient d’après Foxintelligence. Dans le lot des joueurs de jeux vidéo en ligne, le nombre de femmes a considérablement augmenté. Au cours de l’année suivante, les bénéfices réalisés par l’industrie de jeu vidéo étaient d’environ 59 milliards de dollars. Indéniablement, i s’agit là, pour partie, de conquête de nouveaux marchés et d’acquisition de pratiques nouvelles qui se sont développés à la faveur des différents confinements.

Le marché des casinos en ligne en 2022

Comparativement aux performances effectuées il y a 7 ans, l’industrie des jeux vidéo s’est donc nettement améliorée et en 2022, les tendances ne vont sans doute pas changer. Encore une fois le retour total en arrière ne semble pas à l’ordre du jour en matière d’habitudes de consommation numérique. Au contraire, certains experts prévoient un progrès pouvant aller jusqu’à 17 %. À l’horizon 2028, les chiffres d’affaires atteindront 158 milliards. Face aux jeux vidéos très grand public qu’en est-il du secteur plus spécifique de jeux de hasard et d’argent en ligne ? Dans cet autre registre, les casinos en ligne connaitront eux-aussi de nombreux changements.

Nombre de casinos et leur dimension sécuritaire

Durant ces dernières années, les machines à sous et les jeux de loterie en ligne se sont multipliés dans le monde. Les principales causes sont le prix très abordable des smartphones et l’accès facile à internet. À cela s’ajoute la concurrence entre les acteurs du secteur. Contrairement aux jeux physiques, les casinos en ligne offrent des jeux abordables avec même des tickets d’entrée modiques grâce auxquelles les joueurs peuvent effectuer leurs mises de départ. Tous les jeux de casino sont également Plug and Play désormais et ne nécessitent pas de manipulations particulières pour se télécharger. En un click, voilà un smartphone changé en machine-à-sous.

D’un point de vue plus global, en 2021, l’American Gaming Association a recensé le nombre total de casinos en ligne qui disposait d’une autorisation légale. Elle en a trouvé au total 2 800. C’est un chiffre considérable quand on sait que les casinos virtuels peuvent encaisser bien plus de visiteurs en simultanée qu’un casino réel.

Sur le plan mondial, les entreprises leaders dans le secteur des jeux d’argent en ligne se trouvent au Royaume-Uni. Il s’agit, entre autres, de Paddy Power Betfair et de William Hill. En effet, les conditions juridiques et culturelles y sont favorables. Les entreprises qui ont une licence européenne s’intéressent plus aux pays de l’Asie et du Canada. Par conséquent, le montant qu’il faut dépenser pour avoir accès à ces jeux diminue et des publics de plus en plus larges, y compris plus jeunes s’y intéressent. Il n’est pas encore possible de faire des projections fermes, mais si les jeux en ligne continuent d’évoluer à ce rythme, on notera un accroissement spectaculaire au cours de 7 prochaines années.

Sur le plan sécuritaire, des lois existent pour garantir la légalité des activités même si on continue d’observer des restrictions et d’interdictions sur certains territoires. Pour affiner l’encadrement du secteur par des entités locales, des structures et organisations étatiques sont désormais outillées pour délivrer les licences aux entreprises. D’autres s’occupent également de la sécurité des informations des joueurs. Quant aux casinos en ligne, pour renforcer leur légitimité, protéger leurs visiteurs et minimiser les risques de piratage de données, ils sont tous passés aux cryptages SSL.

Les critères de choix des casinos sur internet

Lorsque les internautes veulent choisir un casino online, ils ont tendance à se baser plus sur les avis des anciens utilisateurs pour évaluer la crédibilité de l’entreprise. Il s’agit d’un excellent moyen pour se faire une idée ce que les joueurs ont aimé ou non. Il existe aussi des sites web spécialisées dans les jeux en ligne et qui effectuent des essais pour fournir des informations pertinentes Avec eux, toutes les dimensions (sécurité, confidentialité, etc.), actualités de jeux, nouveautés sont abordées. On y retrouve aussi des astuces pour prendre plus vite en main certains jeux même si, il faut avouer, les casinos en ligne privilégient de plus en plus des jeux intuitifs et simples à utiliser.

En dehors de cela, le joueur en quête d’un casino sur internet s’intéresse aux modes de paiement disponibles. En effet, même si les casinos s’efforcent pour diversifier les moyens de paiement, leurs offres ne sont pas utilisables dans tous les pays. Ils privilégient les techniques de paiement qui demandent peu d’informations. Ainsi, les clients ne fourniront pas de données privées au point de se faire voler par les banques. Le bitcoin est aussi un moyen qui intéresse certains joueurs qui, ainsi, ne prennent pas de risque de déposer des gains éventuels sur leur compte bancaire, en provenance de destinations exotiques. C’est tout particulièrement dans les pays qui n’acceptent pas les jeux en ligne ou les interdisent.

Une chose demeure certaine, l’industrie des jeux en ligne évolue à la vitesse de l’éclair. Si les sites deviennent de plus en plus complets, les joueurs, quant à eux, montent aussi leur niveau d’exigence. Dans un tout nouvel article, nous vous invitons à revisiter avec nous le classement des meilleurs casinos en ligne de France.

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Uber scandale d’état ?

L’entreprise californienne Uber se trouve, depuis un bon moment, au centre d’un scandale. Cela avait commencé avec les mouvements de révoltes qu’avait suscité son implantation dans le monde des taxis. Face à des artisans taxis ayant payé quelquefois des centaines de milliers d’euros leur licence d’exploitation, voilà que la société américaine débarquait en cassant les tarifs et sans être assujetti à aucune règle. Finalement, la pilule étant passée sous l’égide de celui qui était alors ministre de l’économie et totalement à contre courant du droit social et de l’existant, les vieux dossiers commencent à refaire surface.

Aujourd’hui, on reproche à Uber d’avoir enfreint aux lois et d’avoir utilisé des méthodes peu orthodoxes pour s’implanter en France. Des documents et diverses révélations tentent de montrer qu’Emmanuel Macron est mêlé à toute cette histoire. Puisqu’au cours de 2014 et 2016, il occupait le poste de ministre de l’Économie et était en contact avec des responsables de l’entreprise. Tout récemment, cette affaire, que le député Aurélien Taché a qualifiée de « scandale d’état », a suscité diverses réactions. D’un côté, certains affirment que le président est « lobbyiste » et met son autorité au service des « intérêts privés ». Les écologistes, les membres de La France insoumise et les communistes demandent une enquête pour situer les responsabilités. De l’autre côté, le parti présidentiel et certains de ses soutiens dénoncent « un faux procès » et défendent le président. Les enquêtes menées par le Consortium international des journalistes d’investigation semble aussi montrer que l’entreprise américaine ne recule devant rien pour s’implanter, usant, au besoin, de corruption ce qui n’arrange rien à l’affaire.

Petites envies ou grosse bouffe ? Le géant Ubereats tire son épingle du jeu

Dans ce climat politiquement tendu, le secteur de la livraison de repas devient de plus en plus concurrentiel. Pour attirer plus de clients, les entreprises rivalisent d’ingéniosité. Entre publicités et offres promotionnelles, toutes les astuces sont mises à contribution pour satisfaire les envies des consommateurs. L’agence de marketing digital et veille concurrentielle a récemment mené une étude sur les offres de livraison de repas. Elle révèle que Uber Eats occupe la première place, car 15 % des internautes commandent leur repas sur sa plateforme.

Aujourd’hui, le géant du transport, devenu un as de la livraison de repas à domicile, aurait plus de 225 000 utilisateurs réguliers. L’application mobile est la plus utilisée, et les mets les plus commandés sont les pizzas, les repas asiatiques et les fast-foods. En France, l’application de Uber Eats a été téléchargée par plus de 6,7 millions de personnes. L’enquête révèle que la majorité des utilisateurs sont des jeunes ayant moins de 35 ans et qu’il y a plus de femmes que d’hommes.

Au cours de l’année 2019, très peu de commandes étaient effectuées par les plateformes. Sur 10 achats, à peine, on en dénombre 1 qui passait par ces canaux. Mais actuellement, 7 personnes sur 10 en font usage. Un classement a été fait en prenant comme critère les sources de trafic. La crise sanitaire est passée par là et toutes les interdictions faites aux restaurants de recevoir des clients. Là encore, des décisions politiques qui ont représenté pour Uber et pour tous les géants du web en général, il faut le dire, une véritable manne.

Aujourd’hui Uber East occupe la première place en ce qui concerne le référencement naturel et la deuxième place pour les référencements payants. Il occupe aussi la première place sur les réseaux sociaux, et en display, il est à la troisième position.

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Faits et chiffres

L’année 2021 a été marquée par plusieurs bouleversements. Plusieurs lieux de commerce ont été fermés, les déplacements ont été limités, et le confinement a été imposé dans plusieurs pays. Tout ceci a amené de nombreuses personnes à s’intéresser aux achats en ligne. Au cours de l’année 2019, la Fédération e-commerce et vente à distance avait affirmé que le e-commerce représentait 9,8 % du commerce détail. Par contre, en 2021, cette part a augmenté et est estimée à 13,4 %. Il s’agit là d’un bond remarquable si on se souvient du début du e-commerce.

En 1995, le minitel est substitué par internet, mais l’accès n’était pas à la portée de tout le monde. Ceci, à cause de son coût onéreux et de son débit relativement faible. En France, on comptait juste 58 000 utilisateurs. C’est au cours de la même année que le premier produit est commandé et livré par internet. Il s’agissait d’un livre en vente sur Amazon. En 2019, quand le e-commerce a fait un chiffre d’affaires de 100 milliards d’euros, on a parlé de « Cap Historique ». Au passage, cela a permis à la France d’occuper la deuxième place en Europe et la cinquième sur le plan mondial.

Malgré la crise économique de 2020, le e-commerce n’a pas été très impacté. Au contraire, il s’est plutôt développé pour faire partie des habitudes d’achat de nombreux Français. En dehors de la vente au détail, le commerce traditionnel a été aussi opté pour la digitalisation pour répondre aux besoins des consommateurs. En 2021, le chiffre d’affaires était de 112,2 milliards d’euros. Au cours des années à venir, l’engouement pour le e-commerce et les chiffres d’affaires augmenteront davantage. Le vrai inconnu reste, désormais, le plafond puisqu’il semble ne guère y en avoir.

La part des lions

On peut connaître la fréquence à laquelle les sites de vente en ligne sont visités, grâce aux publications de la Médiamétrie et la Fevad. Ils publient, de façon trimestrielle, des données sur les sites marchands en prenant en compte près de 11 marchés parmi les principaux secteurs. Grâce à leurs dernières études, nous pouvons avoir une idée du site où plus d’achats ont été effectués en l’intervalle d’un an, et ce, au cours en fonction des catégories de produits. Voici la ventilation obtenu dans les secteurs clés :

• De la mode : Amazone avec 42,4 % d’acheteurs ;
• Des Marketplaces : Amazon avec 53,4 % d’acheteurs ;
• De la beauté, de la santé et de l’hygiène : Yves Rocher avec 29,2 % d’acheteurs ;
• Des produits culturels : Amazon 54,1 % avec d’acheteurs ;
• Des produits électroniques : Amazon avec 65,3 % d’acheteurs ;
• De l’alimentation : E.Leclerc avec 35,7 % d’acheteurs ;
• Du sport : Décathlon avec 44,9 % d’acheteurs ;
• Des jeux et jouets : Amazon avec 50 % d’acheteurs ;
• Des meubles de décoration : Amazon avec 34,6 % ;
• De réservation d’hébergement : Bookin.com avec 39,8 % d’utilisateurs.

S’il reste encore beaucoup de place compte tenu des sommes énormes brassées par ces géants et compte tenu de la taille du marché pour faire sa place il faut être de plus en plus pointu non seulement en matière d’originalité et de qualité mais encore d’e-marketing et de conquêtes de nouveaux territoires d’exposition en ligne. Quand on sait que la publicité se négocie aux enchères, le ciblage de segments de marché précis autant que l’anticipation et la réponse aux intentions d’achat sont au cœur de la lutte.

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Le projet

La multiplateforme proposée par la société niçoise Cuddl’Up permettait aux clients de commander selon ses désirs et payer directement. L’attente auprès du restaurateur ayant été effacée de l’équation, chaque client pouvait vivre une expérience de consommation unique. Tout en travaillant sur la satisfaction de sa clientèle, le restaurant pouvait bénéficier d’un outil de gestion et d’analyse qui lui permet d’augmenter son chiffre d’affaires.

Le concept a séduit de nombreuses personnes. Trois mois seulement après sa création, l’entreprise signe un premier projet pilot chez Hipppopotamus. Quelques mois plus tard, c’est au tour de la chaîne Max à Table de rejoindre la plateforme. Les quatre premiers mois se soldent donc par un chiffre d’affaires de 100 000 euros.

La réalité du marché et les faiblesses de la solution

L’entreprise s’est alors concentrée sur le développement du côté clients sans même envisager que le succès ne pourrait pas être au bout du tunnel du côté des restaurateurs. Hélas, les deux partenaires qui collaboraient avec elle étaient probablement les seuls disposés à suivre le modèle proposé et à s’engager dans un tel investissement. La bonne réaction à ce moment aurait été de stopper les activités, de se poser, de réfléchir, de trouver ce qui cloche. Il est toujours facile de refaire le match après coup mais, au final, le business modèle était déjà bien en place et il s’est avéré que le marché n’était pas prêt pour accueillir un tel projet.

La faiblesse du modèle se rapportait essentiellement au coût d’acquisition. Acheter une solution complète à plusieurs dizaines de milliers d’euros avec un mode locatif maintenance plus le matériel et les supports est à la portée des grandes entreprises mais, pas des petites brasseries du coin qui n’étaient pas disposée à risquer en terme de capital sans compter le bassin choisi pour le lancement. Il a donc fallu opter pour un modèle à la performance qui s’est également soldé par un échec malgré les ventes, car l’entreprise était trop tôt sur le marché et certainement à un mauvais moment.

La recette du succès

Encore une fois, la réussite d’un projet, aussi ambitieux soit-il et aussi intéressant puisse-t-il paraître sur le papier, n’est jamais donnée. Le bon timing, la taille et la maturité du marché local, le bon dimensionnement, les usages même quelquefois, les facteurs sont multiples et complexes. Dans le monde des applications de livraison de restauration à domicile, les applications n’ayant pas réussi sont aussi légions. Aujourd’hui avec la présence de géants qui ont accéléré leur implantation à la faveur du Covid, nul doute que le marché est encore plus difficile à pénétrer.

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Le dynamisme et les acteurs de la restauration à domicile

Le secteur de la restauration a été dynamisé par les livraisons à domicile. Autrefois, la restauration à domicile se limitait à la pizza et à la restauration rapide. Aujourd’hui, elle prend en compte bien d’autres formes de restaurations rapides mais aussi la restauration traditionnelle et se concentre essentiellement sur le repas du soir. Désormais, toutes les formes de restaurations rapides progressent grâce aux technologies numériques, aux entreprises intermédiaires et aux applications mobiles. Malgré les commissions quelquefois prohibitives, de nombreux restaurants ont recours à ce service. Ce qui leur permet de développer leur vente, de dynamiser leur communication et d’étendre leur zone d’influence.

Les applications mobiles sont les principaux canaux utilisés par les Français pour commander les repas. Les principaux acteurs de ce service sont, entre autres, Foodora, Just Eat, Deliveroo et Uber Eats. En dehors de ces acteurs de livraison à domicile qui sont des entreprises spécialisées dans le secteur, il faut ajouter les restaurants en ligne qui s’occupent eux-mêmes de la livraison de leur repas. On peut citer entre autres Nestor, Foodcgéri, PopChef ou Frichti. La Belle Assiette, Cook Angels et Manbanquet sont, quant à elles, des Start-ups aux activités spécifiques. La Belle Assiette est un service qui permet de réserver un chef à domicile, Cook Angels livre des box repas et Monbanquet propose des livraisons de buffets. L’offre se diversifie et s’enrichit, et le consommateur n’a plus qu’à mettre les pieds sous la table après avoir sorti sa carte bancaire.

Les avantages de la restauration à domicile

Sushi, hamburger, tacos, plats du jour, pizzas, pâtisseries, glaces ! La livraison des mets et petits plats tout prêts permet au consommateur de profiter d’un repas chez soi ou sur son lieu de travail sans devoir sortir le chercher. En France, ce service est souvent utilisé dans le cadre d’une soirée foot ou cinéma avec des amis. Constante : le développement de ce secteur permet à tous les consommateurs (solvables et pouvant se le permettre) d’accéder à un large éventail de restaurations. Avec la généralisation de l’usage du smartphone, le service est aujourd’hui flexible, simple, rapide et immédiat.

Le développement de ce service permet aux restaurateurs de s’ouvrir à une nouvelle clientèle et d’augmenter leurs chiffres d’affaires. De plus, en faisant appel aux services d’intermédiation, les restaurants n’ont pas à leur charge la logistique. La maîtrise du numérique des intermédiaires permet au restaurant de digitaliser sa communication et d’avoir une large visibilité. Attention par contre ! Les géants du secteur ne rasent pas gratis et quelquefois les marges des cuistots fondent à vue d’œil avec des 30 à 35% de commissions sur les ventes pour se payer l’acquisition de ses nouveaux clients casaniers.

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